Resumé des games prédedentes #2: Paper Chase

1 Septembre 1922 – Hortez est contacté par Thomas Kimball, le neveu d’un de ses amis Douglas Kimball, afin de retrouver 5 livres de la collection de son oncle qui ont été volés la veille. Thomas l’engage pour trouver le coupable et peut-etre découvrir si son oncle qui est disparu depuis plus d’un an est toujours vivant Hortez se rend a la residence Kimball (218 Aylesbury St.) à Arnoldsburg, Michigan. Le soir, Hortez entends un intru dans la bibliotéque et suit une piste menant au cimetière local. Avec l’aide du gardien Melodias Jefferson, Hortez ouvre une ancienne tombe vers laquelle les traces mènent. Une odeur effroyable lui fait perdre connaissance. A son réveil, Hortez revoit son ancient ami Douglas, très changé physiquement, qui explique que ceci est la dernière nuit ou il est permis de visiter la surface. Il a decidé de s’emparer des quelques uns de ses propres livres avant de disparaitre a jamais dans une communauté de mangeurs de chair.

PART I
Lorsque je ne gagne pas ma vie à identifier et troquer les bouquins, je tiens une modeste librairie sur l’Avenue des Vautours. Je loue ce petit espace pour une bouchée de pain, puisqu’il est situé sous un édifice délabré.
 
Ce matin, j’ai reçu un appel étrange qui m’oblige à délaisser mon commerce pour quelques jours. Le filleul d’un vieil ami m’a téléphoné de Northsher au Michigan. C’était au sujet de son oncle. Il n’a pas voulu me dire grand chose au téléphone mais il prétend que son oncle a disparu depuis presque un an et qu’il aimerait que je vienne à sa maison pour en discuter. Cela fait plus de quatre ans que j’ai eu des nouvelles de mon vieil ami mais puisque les affaires sont tranquilles, j’ai décidé d’y aller.
 
De toute façon, le filleul ma proposé de payer le train et que je pourrai me servir dans la bibliothèque de son oncle. Il ne m’en fallait pas plus pour que j’accepte. Je connais la diversité et la valeur de la collection de ce vieux Douglas Kimball.  Je sais qu’il en a pour plusieurs milliers de dollars. En fait, la littérature est toute sa vie. C’était un homme très peu sociable qui passait ses journées à lire. Il dévorait livre après livre. Il ne voyait que très peu de gens. J’ai eu la chance de travailler pour lui car il voulait dresser un inventaire complet de sa collection. Cela remonte déjà à cinq ans.
 
Je pris donc le train de onze heures en direction du Michigan. Le voyage fut agréable puisque je partageai ma cabine avec une charmante dame qui me résuma sa vie en quelques heures seulement. À mon arrivé à Northsher, je pris le taxi en direction de la demeure de mon vieil ami. J’avais écrit son adresse dans mon calepin de notes, 218, Aylesbury street. Le chauffeur de taxi était très sympathique. Il me demanda si je connaissais quelqu’un qui vendait de l’alcool dans le coin. La prohibition emmène beaucoup de problème d’approvisionnement me dit-il.
 
Environ une demi-heure plus tard, je me retrouvai chez Douglas Kimball. Sa maison se trouvait dans un quartier modeste. La maison était sur deux étages. Une clôture entourait le devant et l’arrière de la maison. Un champ se trouvait à l’arrière de cette rangée de maison, avec une lisière de bois à quelques centaines de mètres. Malgré ce coin modeste, les terrains étaient plus que respectables. Il y avait une certaine distance entre chaque demeure.
 
 
 
Je cognai donc à la porte. Un homme d’environ une trentaine d’année me répondit. C’était bien Thomas, le filleul de mon ami. Il m’invita à entrer et nous nous sommes présenté comme il se doit. Il m’a demandé de m’asseoir dans le boudoir où, tout en prenant le thé, il m’expliqua ce qu’il en était. 
 
Il me raconta que son oncle avait étrangement disparu, il y a un an. Son oncle n’avait contacté personne, fait aucune valise et même laissé sa voiture dans l’entré. Puisque très peu de gens visitaient Douglas, cela pris environ un mois avant que l’on s’aperçoive de sa disparition. La police ne trouva aucune trace de vol ou quoi que ce soit, et présuma qu’il avait simplement décidé de quitter cet endroit. Il faut dire que la police avait bien mieux à faire que d’enquêter sur la disparition d’un vieil homme que très peu de gens connaissaient.
 
Je me demandai pourquoi son filleul avait attendu aussi longtemps pour m’appeler, et comment avait-il trouvé mon numéro. Il continua donc son récit. Il me dit qu’il était l’héritier testamentaire de son oncle et qu’il vint s’installer ici il y a environ trois mois. Il aimait son oncle et il était le seul contact qu’il avait avec sa famille. Son frère demeurait dans la même ville, mais il avait d’autres habitudes de vie, ayant une femme, deux enfants et un boulot d’usine.
 
Il continua en m’informant qu’il y a deux jours, un vol avait été commis dans la maison. Je lui indiquai qu’il aurait dû informer la police au lieu de moi pour cette affaire. Mais la nature du vol l’intrigua tout autant que moi. Tout d’abord, aucune serrure n’avait été forcée. Sa chambre était au deuxième étage et il entendit du bruit provenant de la bibliothèque de son oncle. Les malfaiteurs avaient pris une dizaine de livres dans la bibliothèque. Thomas trouva cela très étranges et c’est alors qu’il décida de m’appeler. Il avait trouvé mon numéro dans les notes de son oncle. Je semblais être la seule personne en qui son oncle avait confiance selon-lui.
 
Je lui répétai que cette affaire concernait d’avantage les enquêteurs et la police que moi, mais j’acceptai tout de même de jeter un coup d’œil à cette affaire. Il m’offrit de dormir dans la demeure, car pour sa part, il était trop apeuré d’y rester une autre nuit. Je trouvais cela très étrange. Il m’indiqua qu’il serait hébergé chez son frère, et que si je trouvais quelques choses de lui en faire-part. De plus, il me dit que je pouvais me servir à mon gré dans la bibliothèque de son oncle, puisqu’il n’en éprouvait aucun intérêt. Si seulement il connaissait la valeur de cette collection!!!
 
Après avoir installé mes affaires dans la chambre d’invité, je descendis dans la grande pièce située à l’arrière de la maison, qui constitue la bibliothèque de Douglas. Juste en face de cette pièce, se trouve une petite chambre avec un bureau, une chaise et quelques papiers ici et là. Thomas m’avait dit qu’il utilisait cette petite pièce pour faire ses affaires. Cependant, il m’indiqua qu’il avait laissé intact la bibliothèque.
 
Celle-ci était une grande pièce de 25 X 40 pieds. De massives bibliothèques en chaîne longeaient les quatre murs. Deux fenêtres, une au nord et une à l’est, laissaient entrer peu de lumière. Le milieu de la pièce était vide, à l’exception d’un magnifique siège de style victorien ainsi qu’une petite table de bois. C’est à cet endroit que Douglas passait la plupart de son temps à lire.
 
Il devait y avoir plusieurs centaines de livre dans cette pièce. Tout était bien rangé et en ordre. Il y avait une diversité incroyable. Même les bibliothèques municipales et scolaires n’avaient pas autant de diversité. Livres d’histoires, arts, géographies, géologies, chimies, physiques, mathématiques, sociologies, anthropologies, romans, nouvelles, etc. Touts ces livres étaient classés par sujets.
 
Mon premier constat après avoir passé quelques heures dans la bibliothèque fut qu’aucun des livres qui avaient été volé ne semblait avoir de lien entre-eux. Il semblait presque avoir été choisi par hasard. Ma première conclusion qui me vint et dont je fis part à Thomas était qu’il s’agissait sans doute d’un petit vol perpétré par des enfants en mal de sensation forte, et sachant que cette maison était plus ou moins abandonné, ils se sont dit que se serait un vol inoffensif. Cependant, ma curiosité me poussa à chercher un peu plus loin et pousser mon investigation un peu plus en profondeur.
 
Je cherchai le rebord de la fenêtre pour voir s’il n’y avait pas quelques traces que ce soit. Il n’en fut rien. La fenêtre sud donnait sur la cour arrière de la maison. Je sortis donc à l’extérieur pour chercher des traces ou quelques indices qui m’aideraient dans mon investigation. Encore une fois, je ne trouvai rien. Je vis dans la cour du voisin à l’est, un vieil homme entrain de travailler dans son jardin. Je suis allez lui parler.
 
Le vieil homme était un peu sourd mais tout de même sympathique. Je lui demandai s’il avait vu quelques choses d’étranges ou d’inhabituel depuis quelques jours. Des enfants rodant dans le coin par exemple. Il m’avoua qu’il était myope comme une tope, mais que sa femme par contre, passait ses journées sur la galerie et près de la fenêtre. J’alla donc cogner à sa porte. Cette vieille dame était tout le contraire de son mari. Un peu désagréable, c’était probablement le genre de femme qui savait tout dans le village et surtout, qui racontait tout…
 
Je restai très polie et posa une série de questions. Au début, ne me connaissant pas et m’appelant « l’étranger » elle était hésitante à répondre à mes questions. Elle me raconta plutôt comment le quartier avait changé depuis quelques années, que la jeunesse était pervertie etc. Finalement, après quelques minutes de radotages, elle se souvint qu’effectivement, la nuit du vol elle avait vu quelques choses d’inhabituel. Elle s’était levée en pleine nuit pour prendre un verre de lait, et comme à l’habitude, elle jeta un coup d’œil sur la cour arrière. Elle prétend avoir aperçu une ombre étrange provenant de chez son voisin Douglas Kimball et se dirigeant vers le cimetière tout près de la lisière du bois, mais elle semblait un peu confuse. Elle pense avoir rêvé ou imaginé cette vision. Je la remerciai et me souscris le plus rapidement possible de sa demeure.
 
Je dois avouer qu’à ce moment là, la curiosité était mon principal moteur plutôt que l’évidence des faits. J’étais sur place, j’obtiendrais des bouquins que je pourrais revendre une fortune, alors pourquoi ne pas continuer cette étrange affaire!?
 
Il était environ deux de l’après-midi, il me restait encore quelques heures avant la tombé de la nuit. Je me rendis donc au cimetière à la recherche de nouveaux indices. Arrivé là-bas, je fis la rencontre d’un vieil homme un peu bourré. Il gardait l’entré du cimetière. Il semblait cacher un flacon d’alcool à l’intérieur de son chemisier. Je lui demandai à son tour s’il n’avait pas vu quelques choses d’inhabituel dernièrement. Il ne semblait pas vouloir me parler. Je lui montrai un billet de cinq dollars et soudainement, il s’est ressaisi et m’a donné quelques pièces d’informations.
 

PART II

Tout d’abord, il m’a avoué qu’il connaissait Douglas Kimball. Il venait souvent lire dans le cimetière. Il trouvait l’endroit tranquille. Il lui avait dit que c’était le seul endroit où il pouvait lire sans se faire déranger. Il venait s’installer près d’une pierre tombale et il lisait toute la journée. Je lui demandai s’il avait vu Douglas dernièrement. Il prit une gorgé de son flacon et après une pause de quelques secondes, me dit que non. Je lui donna les cinq dollars et lui proposai d’allez prendre une pause au petit restaurant du coin. Avant de quitter, je lui demandai à quel endroit Douglas s’installait pour lire. Il me pointa une pierre modeste au milieu du cimetière. Il prit mon argent et quitta son poste.

J’avançai jusqu’à la pierre tombale que m’avait indiqué le gardien. Le nom de Jefferson Tanner y était inscrit. Dès mon arrivé, je remarquai d’étranges traces de boue tout autour de la pierre. Les traces semblaient se diriger vers l’une des cryptes au bout du cimetière. Arrivé devant la crypte, je constatai qu’elle était barrée à l’aide d’un cadenas.

Je ne sais pas ce qui m’a pris à cet instant mais la curiosité m’a poussé à faire des choses bien étranges dans ma vie, et une fois de plus, j’étais sur le point d’en faire une. Je m’assurai que personne ne me regardait et surtout que le garde n’était pas de retour. Je brisai le cadenas. J’ouvris tranquillement la porte en pierre de la crypte. C’est alors qu’une odeur putride et infecte envahi mes voies nasales et se faufila jusqu’à mes poumons. J’en perdis connaissance.

J’ouvris les yeux. Plusieurs heures avaient passé car je faisais maintenant face au ciel étoilé. J’étais allongé en face de la crypte toujours ouverte. J’essayai de me redresser mais, c’est à cet instant que je perdis tous mes repères. Une créature hideuse se tenait à coté de moi et m’examinait. Une créature si abominable que je ne peux la décrire sans que le froid envahisse le bout de mes doits.

Je pris alors mes jambes à mon cou et courus jusqu’à ce que mes poumons veuillent exploser.

Puis, je repris mes sens! Que venais-je donc de voir? Était-ce donc le fruit de mon imagination? Pourquoi n’avais-je donc aucune trace de violence sur le corps? Si cette chose était réelle, elle ne devait pas être dangereuse puisque j’étais resté allongé inconscient plusieurs heures. Ce sont des questions que je me posai et qui alimentait de plus en plus ma curiosité et mon désir de résoudre cette énigme.

Je repris mon sang froid et j’allai m’armer d’un revolver que je traîne toujours avec moi par précaution. Je l’avais laissé dans mes bagages dans la maison des Kimball. Puis, je me dis que j’étais sûrement brave mais pas fou, du moins pas encore! De retourner seul à cet endroit était de l’acharnement inutile. Je faisais cela pour un jeune homme que je connaissais que depuis ce matin. Il était probablement temps que je le contact et qu’il m’accompagne au cimetière pour élucider cette étrange et très mystérieuse affaire.

Je me rendis donc en pleine nuit chez le frère de Thomas. Il demeurait à une vingtaine de minutes de chez leur oncle. Je ne sais pas si le frère de Thomas apprécia que je cogne à leur porte à minuit le soir mais tous les deux étaient debout pour m’accueillir. Ils m’invitèrent à la cuisine ou je leur racontai, épargnant les détails lugubres, mon investigation.

Pour Thomas, il n’était pas question de m’accompagner au cimetière en pleine nuit. Son visage transpirait la peur et l’anxiété, alors que ses yeux démontraient toute son inquiétude. J’appris alors qu’un homme qui refuse de dormir dans une maison qui fut cambriolée n’est pas le genre de type à m’accompagner dans un cimetière. Cependant, son frère Victor, qui jusqu’à maintenant ne semblait pas intéressé par toute cette affaire, était intrigué. Il m’offrit de m’accompagner. Il prit une lampe de poche dans son armoire, embrassa sa femme qui nous espionnait en haut des escaliers et nous prîmes la direction du cimetière situé à quelques pas de la maison familiale.

Arrivé là-bas, je lui ai montré la crypte où j’avais vu cette hideuse créature. Il ne semblait pas vraiment me croire, et avec raison. Je n’étais déjà plus sur moi-même de se que j’avais réellement vu. Cependant, une chose était sûre. Que cette chose était liée avec le cambriolage des livres de la bibliothèque du vieux Douglas Kimball.

Nous faisions face à la crypte, et elle était toujours ouverte. Rien n’avait bougé. Nous nous sommes regardé bien dans les yeux avant d’entreprendre notre descente et surtout, à savoir qui devait descendre en premier. C’est Victor qui décida d’ouvrir le chemin. L’odeur et le gaz dont j’avais été victime dans l’après-midi, semblaient s’être dissipé avec le temps. C’est une bonne chose, car mon corps n’aurait pas supporté une autre dose de ce poison volatile.

C’était une crypte bien modeste. Les escaliers et les murs étaient très étroits. Et soudain, les escaliers s’ouvrirent sur une seule pièce avec cette chose qui se tenait devant nous. Victor, figea devant la créature stupéfaite, pour ensuite s’évanouir. Pour ma part, je montrai ma main pour tenter de calmer la créature, ne sachant pas trop quoi penser.

Soudain, les révélations chocs me tombèrent dessus comme une tonne de brique.

La créature prit la parole et je reconnus immédiatement la voie de mon vieil ami. Aussi hideuse soit-elle, la créature semblait sourire à mon égard. Il m’affirma qu’il était Douglas Kimball et il se demandait se que je faisais à cet endroit. Totalement stupéfait, je répondis à ses questions, comme si j’avais mon ami devant moi. Après lui avoir raconté que ses neveux s’inquiétaient pour lui, ce fut à mon tour de lui poser quelques questions. Je n’en croyais pas mes yeux.

Il me raconta qu’il était avide de connaissance et qu’il adorait lire. Qu’un jour, il était tanné de se faire déranger à la maison et qu’il vint passer ses journées et nuits à lire dans le cimetière en paix. C’est alors qu’il rencontra une créature, tout comme lui me dit-il, qui lui offrit la vie éternelle. Il fut séduit par cette offre et il se dit qu’il pourrait passer l’éternité à lire en paix. C’est alors qu’il a passé un pacte avec cette créature qui le changea en cette chose. Je lui demandai si c’était lui qui était à l’origine des vols perpétrés dans sa bibliothèque, et il me répondit dans l’affirmatif. Il faisait des réserves car il devait maintenant aller rejoindre le peuple en dessous de la terre. Il me révéla qu’il y avait des milliers de créatures comme lui sous terre.

J’étais tous simplement abasourdi. Tout en me conduisant hors de la crypte, il demanda de ne rien dévoiler à ses neveux. C’était mieux pour eux qu’il ne sache rien. Qu’ils ne tentent pas de le retrouver ! Puis après quelques minutes de discussion, nous arrivâmes à la pierre tombale où j’avais vu ses traces. Il la poussa sur le coté et je vis un passage qui descendait profondément dans la terre. Mon ami me serra la main et me dit de ne plus jamais revenir ici. Que nous étions surveillés par les autres, et que lui-même changerait bientôt. Qu’il allait perdre son humanité et devenir totalement dévoué à cette race ! J’avais de la pitié pour cet homme. Il avait fait ce pacte pour avoir tout le temps du monde pour lire, et bientôt, il deviendrait une créature mangeuse de chaire sans conscience. Il disparut à jamais!!!

Je me dirigeai vers Victor et le transporta jusqu’à l’extérieur du cimetière. Je lui donnai quelques claques au visage pour qu’il se réveille. Il semblait consterné. J’essayai d’inventer une histoire de cancer, que leur oncle voulait vivre autre chose avant de mourir, etc. Je crois qu’il mon crut, mais en fin de compte, je pense que personne n’a vraiment cru à mon histoire. C’était une famille sans histoire, qui ne voulait pas connaître les choses étranges qui habitent notre monde.

Pour ma part, j’empaquetai une boite pleine de livres de grandes valeurs et retournai chez moi. J’avais beaucoup de temps dans le train pour penser à toute cette affaire. Parfois, je me dis que nous sommes tous ignorants et c’est par choix que nous le demeurons. Ma vie vient de changer à jamais par ces révélations chocs sur un autre monde. J’ai souvent été en contact avec certains livres qui racontaient ses choses d’une manière si détaillé qu’elle ne pouvait qu’être de la fiction. Désormais, je serai plus vigilent et mes œillères seront, à jamais, grandes ouverte.